Expert Google Pagespeed Insights : comment et qui est le meilleur ?
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Qu’est-ce que Google PageSpeed Insights ?
Grâce à Google PageSpeed Insights, une équipe de développeurs a le pouvoir de pousser leur application Web vers des sommets de performance inexplorés en ciblant précisément les écueils qui entravent les performances. Deux séries de données entrent alors en jeu pour réaliser cette prouesse. Pour commencer, un outil gratuit nommé Lighthouse réunit deux types de données : celles générées en laboratoire et celles issues du vaste monde réel, récupérées par les rapports d'expérience utilisateur Chrome. Au final, vous vous retrouvez avec une image révélatrice des performances de votre application Web ainsi qu'une pluie de suggestions constructives pour booster sa réactivité.
Juste comme un chasseur de trésor avec sa carte en main, Google PageSpeed Insights sert de guide, fouillant les informations dérivées de deux sources balisées pour façonner ses résultats. Cela ouvre la voie à une richesse d'analyses où chaque métrique est sa propre petite pièce du puzzle, apportant une teinte unique à la vision globale de l'expérience utilisateur. Pour l'étoffer un peu, Google PageSpeed peut, par exemple, dénicher ce qu'il surnomme affectueusement "Le Premier Traçage Formel" - qui n'est rien d'autre qu'une épée de Damoclès qui mesure l’instant exact où l'écran scintille pour la première fois, affichant ainsi les joies numériques offertes par l'application Web.
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Introduction à Google PageSpeed Insights
Supprimez les chaussettes, rapprochez-vous un peu, laissez-moi vous parler d'une petite perle techno qui s'appelle Google PageSpeed Insights. Oh oui, vous l'avez entendu, votre nouvel allié dans l'arène du web. Vous êtes-vous déjà demandé comment votre site web se défend dans le chaos numérique? Eh bien, grâce à PageSpeed Insights, vous pouvez simplement saisir votre URL, oui, n'importe laquelle, et bingo! Le voilà analysé en un rien de temps.
Mais attendez, ce n'est pas tout! On dit non aux informations vagues et aux spéculations sans fondement. Quand l'analyse est terminée, Google vous donne une note, oui une note - comme à l'école. Mais ne vous inquiétez pas, vous ne recevez pas cette note de quelques vieux professeurs grincheux, mais directement de la majestueuse cour de Google. Imaginez, une note sur 100, basée sur un tas de bonnes pratiques d'optimisation des performances du web. Pas juste pour faire joli, non! Un véritable indicateur de performance! Pas mal, hein ?
Un p'tit coup d’œil là-dessus et hop, Google dispose d'une foison de suggestions fraîches comme une salade pour booster votre bel étalon des performances (par le biais du score PageSpeed Insights, bien entendu). C'est comme si vous aviez votre coach personnel 24/7 ! L'ère de la corvée est révolue, chéri, place à l’automatisation qui fait tout le gros boulot pour vous. À vos marques, prêt, à partir de 2018, ça devient une partie de pétanque. Google utilise ce grand pote, Lighthouse, un outil open source à la pointe de la technologie pour rafraîchir et revitaliser au maximum nos pages web bien aimées.
Alors, Lighthouse, c'est un peu le couteau suisse de notre chère toile. Capable d'évaluer un bataillon de facteurs, du genre performances infaillibles, accessibilité haut de gamme, des applications web débordantes d'originalité et j'en passe! C'est un peu le super-héros que tout possesseur de page web désire secrètement. Alors, crachez le morceau, prêt à embarquer dans cette révolution numérique?
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Comment améliorer son score sur Google PageSpeed Insights ?
Imaginez un instant la scène : vous êtes dans une course effrénée, pied au plancher, souffle coupé. Votre coéquipier ? Google, rien de moins, et il n'aura de cesse que de vous pousser à aller toujours plus vite. Au cœur de l'enjeu : la vitesse de chargement des pages de votre site web. Elle n'est plus seulement un must pour les impatients de la modernité, elle est devenue la nouvelle star de notre cher moteur de recherche. Avec une importance grandissante donnée au mobile et un cri du cœur pour une qualité de service irréprochable, nos amis les éditeurs de sites voient leur mission transformer : offrir un site turbo-rapide à leur public est devenu une priorité des plus stratégiques pour booster leur référencement.Et c'est là que notre ami Google entre en piste avec Google PageSpeed Insights. Un outil taillé sur mesure pour tester la vitesse de chargement de votre site, chaque page passée au crible, sans relâche. Si vous avez déjà fait un tour de piste avec lui, vous savez qu'obtenir un score de grand champion n'est pas une partie de plaisir. Mais pas de panique! Enfilant votre casquette d'expert SEO, collant au pare-chocs les astuces du métier, vous devriez voir le compteur monter vers les fameux 100%, plus vite qu'une Ferrari sur l'autoroute!
Perdu dans le labyrinthe des lenteurs numériques? Pas d'inquiétude, chers geeks! Un site web un peu trop flemmard peut facilement retrouver sa fougue avec quelques ajustements techniques et une pincée d'optimisation.
Tout d'abord, n'oubliez pas d'examiner le moteur qui fait tourner votre domaine et fait le lien entre celui-ci et ses adresses IP – Je veux parler du très fameux serveur DNS (Domain Named Service). Si le vôtre est géré par votre hébergeur et que la formule 1 du web semble être au ralenti, alors zappez! Hop, jetez-vous à corps perdu dans un comparatif fantasmagorique des serveurs DNS et choisissez celui qui fait la course comme une flèche!
La tâche peut sembler titanesque? Allez, respirez, il existe plein d'outils gratuits pour tester le temps de réponse des DNS. Vous avez sûrement déjà entendu parler du roi NameBench, non? Mais si vous êtes partagé entre l'indécision et la peur de l'inconnu, soyez tranquille : Google Public DNS est un choix sûr et fiable. Certes, ce n'est pas une formule magique pour tous vos problèmes, mais c'est reconnu comme l’un des serveurs DNS les plus rapides. Bon, vous me voyez venir.
Par un curieux tour du destin, voilà que l’ami Google, qui vous a aidé avec ce serveur DNS rapide, pourrait aussi être le coupable ralentissant votre site! Comment? Hé bien, tenez-vous bien : les scripts de Google Analytics, fautifs silencieux, peuvent avoir tendance à paresseusement augmenter le temps de chargement de vos pages. Pour échapper à ce goulot d'étranglement digital, pensez à délocaliser vos scripts dans un fichier JavaScript distinct et placez vos appels à la fin de la page. Cette même stratégie astucieuse peut être utilisée pour mettre de côté les Google Web Fonts dans un fichier externe.
Et voilà, juste en appliquant ces petits bouts de sagesse numérique, vous pouvez donner un coup de fouet bien mérité à votre site, et le voir filer à toute vitesse, plus libre et insouciant que jamais!
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Facilité d’utilisation de Google PageSpeed Insights
Venez, je vous balade un peu dans les tréfonds de Google PageSpeed Insights, et en particulier, d'une de ses deux fonctions, la bien-nommée Lighthouse. Comme un bateau à vapeur sur le Mississippi, Lighthouse est simple à utiliser et facile à configurer. Faites glisser son plugin comme un marque-page dans votre navigateur Chrome préféré, et hop, vous éviterez de vous perdre sur Google PageSpeed Insights. Tirez parti de ses rapports, générés avec soin, pour vous outiller en vue de l'amélioration constante de votre site.
D'autre part, si vous cherchez un autre chemin, Google PageSpeed Insights est aussi accessible à travers les chemins sinueux du Web. Franchissez son portail numérique, tapez l’URL de votre application Web et observez le système cracher un rapport complet sur les performances de votre bien-aimé site. Les rapports ainsi générés sont aussi limpides que l'eau de source, divisés en différentes catégories faciles à digérer.
Attendez-vous à y trouver un score de performance, des rabais de terrain, un récapitulatif des origines, des diagnostics perspicaces et des détails sur comment rendre votre site encore plus impressionnant. Sans oublier que vous pouvez basculer entre les versions mobile et de bureau du rapport Google PageSpeed Insights, pour avoir une vue d'ensemble et comprendre comment votre application Web se comporte sur différents fronts.
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La vérité sur le score de 100/100 dans Google PageSpeed Insights
C'est quelque chose qu'on voit tout le temps, des proprios de sites web et les dev qui s'échineraient pour un zéro défaut sur PageSpeed Insights. Quelle ironie, huh? Mais malheureusement, ils ratent toujours l'objectif de taille, c'est-à-dire, les recommandations précieuses qui ressortent du test. Voilà le hic!
Eh oui! Il est capital de mettre le paquet pour optimiser les temps de chargement de votre site web au maximum. Toutefois, décrocher un parfait 100/100 sur Google PageSpeed Insights n'offre pas vraiment des trophées. Pour couronner le tout, il n'est pas l'alpha et l'oméga des outils de vérification de performance. Ah, les surprises de la vie!
Zoomons un peu sur un certain Pingdom Tools. Là, on parle d'un outil de geek qui met tout le monde K.O! Il vous donne la chance de tester les performances de votre site web depuis plusieurs endroits dans le monde. Pas mal, hein?
En sus, vous avez d'autres plateformes sympas comme GTmetrix (qui fusionne vos scores de PageSpeed Insights et YSlow), et WebPageTest. Un petit secret entre nous, les résultats obtenus d'une plateforme à une autre ont souvent tendance à diverger. Cela prouve à quel point ces chiffres peuvent parfois être aussi imprévisibles qu'un tirage de loto. Alors, ne vous laissez pas trop accrocher par ces chiffres, ok?
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Compressez les scripts !
Alors, prenez bien ça en note : on voit de plus en plus de sites qui se la jouent en mode "grand spectacle", avec des designs flamboyants et des fonctionnalités toutes plus sophistiquées les unes que les autres. Seul hic ? Un code source qui finit par ressembler à un puzzle de 5000 pièces. Pour éviter de se retrouver avec des fichiers JavaScript ou CSS dignes d'annuaires téléphoniques, on peut se tourner vers un outil de compression. C'est un peu comme faire rentrer un éléphant dans une Smart, mais en moins douloureux.
Si vous utilisez le CMS WordPress, par exemple, vous pourriez checker du côté des plug-ins comme Better WordPress Minify ou WP Rocket. Mais bon, gaffe quand même. Ce genre d'outils, ça se paramètre avec le plus grand soin. Vous devez bien régler le niveau de compression, histoire de ne pas foutre un sacré bazar sur votre site. Un petit conseil ? N'hésitez pas à faire plusieurs essais sur google pagespeed pour trouver le bon compromis entre compression et fonctionnalités. Non, vraiment, faites-le. Vous m'en direz des nouvelles.
Mais si ça vous tente de mouiller la chemise, vous pouvez aussi mettre les mains dans le cambouis et compresser vous-même votre code. Des fois, un petit coup de balai dans les scripts pour corriger deux-trois erreurs de syntaxe et hop, le tour est joué. Pour vérifier que tout est nickel dans votre Javascript, un petit coup d'JavaScriptLint ne fait jamais de mal. Idem pour les CSS, avec CSS Validator.
Et là, juste entre nous... N'oubliez pas d'activer la compression GZip dans le fichier htaccess à la racine de votre site. Peur de mettre les pieds dans le plat ? Pas de panique, demandez à un expert SEO de vous filer un coup de main. Rien ne vaut de bons vieux trucs de pros, non ?
Ce qu’il faut rechercher dans les rapports Google PageSpeed Insights
Imaginez la section "Opportunités" de PageSpeed Insights comme la meilleure collation du menu SEO - servie avec une garniture de conseils piquants pour améliorer la performance de votre site web. C'est le joyau caché, ma foi, qui donne un aperçu vivant de ce qui ne reste pas carré dans le cercle. Oh oui, des problèmes qui doivent être adorés avec une résolution instantanée, sans aucun doute ! Ce rapport n'est pas juste une liste de soucis, il sert également une variété de solutions sur un plateau d'argent.
Jetons un coup d'œil sur ce que cela pourrait comprendre. Pour commencer, notre cher PageSpeed Insights pourrait vous conseiller de jouer avec des images de meilleure qualité. Vous voyez, des images qui pèsent un poulet et demi ne font que fatiguer votre site et repousser les temps de réponse comme une tortue sur du goudron chaud. Et le pire, c'est que cela se produit à une vitesse absolument désagréable. Alors, pourquoi ne pas faire attention à ces détails ?!
Il pourrait aussi être suggéré que vous vous en teniez à un plugin savamment conçu pour réduire ces images gargantuesques à une taille soignée et bien optimisée pour le web. Une échelle confortable, si vous voulez où ni le format ni la qualité ne jouent le malheur.
Vous l'avez donc compris : récupérez ces précieuses informations, courez un sprint de dev avec votre équipe et réalisez ces changements magiques. PageSpeed Insights n'est pas seulement un conseiller, c'est la bougie qui éclaire les coins sombres de votre site web qui ont potentiellement besoin d'un petit coup de polish. On dit donc au revoir aux erreurs de performance et on met le cap vers un futur brillant !
Comment Google utilise PageSpeed Insights ?
Imaginez votre site web comme une sorte de super-héros high-tech. Son pouvoir secret ? Optimiser UX, l'expérience utilisateur, grâce à une performance galvanisante. Mais ce n'est pas tout, oh que non ! Ce tour de passe-passe a également le don de charmer l'influente PageSpeed Insights, une petite merveille tenue par le grand gorille des moteurs de recherche. Bah oui, on parle bien de Google. Alors, c'est clair comme de l'eau de roche, avoir un bon score chez elle, ça risque de faire des vagues - et des belles - dans votre classement en page de résultats des moteurs de recherche, autrement dit les SERP. Et particulièrement chez Google, bien sûr.
Mais regardez la réalité en face, les copains. Si votre site est un lévrier en performance, alors Google utilise bel et bien PageSpeed Insights comme le meneur qui va décider de votre rang. C'est comme ça, la vitesse du site est un marqueur de positionnement, un point c'est tout. Et ce petit bilan de santé de votre performance, il va vous donner une idée plutôt nette de l'endroit où vous vous situez sur l'échiquier du ranking.
Compressez automatiquement les images et limitez les plugins
Imaginez, dans le vaste univers du Web, un éditeur de site s'efforce de trouver le Graal - des images au top. Sans conteste, des visuels impressionnants apportent un je-ne-sais-quoi irrésistible. Mais, attention, mes amis! Un excès de pixel pourrait vous jouer un sacré tour, envoyant vos visiteurs courir vers la sortie, effrayés par le temps de chargement interminable de vos pages. Et voilà, dit au revoir à ton SEO ! Le fin du fin, c'est de jouer la carte de la discrétion et de compresser furtivement les images téléchargées. Mais alors là, on manoeuvre sur un fil. Il te faut le degré de compression "juste" pour conserver le glam' de tes images, tout en allégeant ta plateforme. Tuas sué sang et eau à suivre tous ces conseils ? Alors, ne perd pas une seconde et cours tester ton site avec Google PageSpeed Insights et mesure l'étendue de tes succès !
Un petit conseil entre nous pour les utilisateurs de WordPress, essayez de vous en tenir à l'essentiel en matière de plug’in. Gardez en mémoire cette règle d'or : une surcharge de ces joyeuseries peut encombrer ton code source plus vite que tu ne le crois et mettre les nerfs de tes visiteurs à rude épreuve avec un chargement de pages comparable à un escargot endormi. Avant d'installer ce mirifique plug’in, une petite vérification s'impose. Jette un oeil à sa taille et à l'effet domino qu'il pourrait avoir sur la vitesse de ton site avec Google PageSpeed Insights. Allez, pas le temps de niaiser, fonce !
L’importance des essais de charge réguliers
Imaginez que Google PageSpeed Insights est comme vos écouteurs de base, ceux qui étaient déjà dans la boite quand vous avez acheté votre téléphone. Plutôt bons pour apprécier votre musique favorite, non? Pourtant, même si c'est un point de départ décent pour booster vos performances d'application web, on conviendra que ce n'est pas les Rolls des casques - loin de vous offrir une expérience exceptionnelle.
PageSpeed Insights, dans toute sa superbe, vous gratifie d'une petite carte postale sur les performances de votre application web, mais seulement à travers l'objectif d'une unique session utilisateur. Là où toute l'affaire se corse, c'est que cette merveille technologique n'a pas le super pouvoir de vous prédire comment votre application va se comporter, du top du top ou l'équivalent d'une chute dans les abysses, quand la horde d'utilisateurs va déferler en masse pour y accéder simultanément. L'effroi, l'angoisse...
Passer à la vitesse supérieure avec de vrais tests de charge, c'est un peu comme changer vos écouteurs de base pour un casque audio d'une qualité inégalée. C'est accélérer à la vitesse de **PageSpeed Insights** sur une autoroute sans embouteillages et obtenir un éclairage vif et précis sur les performances de vos applications web lorsqu'elles sont mises à l'épreuve de la foule, au moment suprême où les utilisateurs sont plus nombreux que des petits pois dans une boîte à vouloir y accéder tous ensemble).
Recommandations de Google PageSpeed Insights
Les astuces de Google PageSpeed Insights pour booster la rapidité de ton site web sont comme des graines au gré du vent, tout simplement incontournables. Par-dessus le lot, une recommandation revient sans cesse : sac à dos au dos de ces ressources qui font barrage à ton rendu.
Alors, de quoi on cause là, d'une recette de grand-mère pour un meilleur pain au levain ? Que nenni! Il s'agit bel et bien d'intrus technologiques connus sous le nom de scripts JavaScript et CSS. Ces petits malins, s'ils sont trop nombreux, peuvent signer un arrêt de mort à la vélocité de ton site, simplement parce qu'ils précèdent le reste du contenu à l'affichage.
Ainsi, lorsqu'un visiteur accède à ton site, son navigateur doit successivement télécharger et décortiquer ces fichiers avant d'afficher quoi que ce soit. Et quand ces scripts se ballottent partout "au-dessus du pli", ça peut vraiment donner l'impression que ton site a avalé une pilule du sommeil !
Maintenant, que faire si ces scripts ne sont pas si nombreux chez toi? Bah, tu pourrais tenter de les mettre en ligne pour te débarrasser du gratin indésirable - du genre avertissements. C'est un peu comme jouer à cache-cache avec tes scripts dans ton fichier HTML. Cette manœuvre, tu peux l’accomplir facilement avec une extension telle qu'Autoptimiser. Mais attention, faut que je te dise, cette technique n'est vraiment la tasse de thé que des petits sites. Pour les mastodontes - je parle des sites WordPress ici - ils sont si gorgés de scripts JavaScript que cette méthode pourrait décupler leur lenteur.
Les avantages des tests de charge
Faire la lumière sur les incontournables bénéfices des tests de charge pour les sites et applications Web
Permettez-moi, chers lecteurs, de vous éclairer sur certains des bienfaits intrinsèques que peuvent apporter les tests de charge récurrents pour vos sites et applications Web. Ces exercices de contrôle, souvent délaissés :
Ont le mérite de déceler et d'aborder les points sensibles en matière de performances avant que votre projet n'atterrisse dans le monde réel qu'est la production. Quoi de plus rassurant que de se sentir préparé face à cet univers impitoyable ?
Participent à la configuration optimale de vos infrastructures dédiées aux sites et applications Web. En cela, ils peuvent se targuer d'être de véritables économiseurs en vous évitant des dépenses superflues liées à l'acquisition de machines additionnelles. Si toutefois, vous êtes confronté à une infrastructure qui ne tient pas la route, avoir une machine supplémentaire sous la main devient non seulement pratique, mais quasi indispensable.
Réduisent considérablement le risque de voir votre site ou application rendu indisponible. Comment ? Tout simplement en mettant en évidence et en mettant à l'abri les requêtes dont les performances laissent à désirer.
Enfin, et non des moindres, ces contrôles éprouvés instillent un sentiment inébranlable de confiance et de fiabilité dans la performance de votre application. Qui plus est, cela se produit à grande échelle et précisément au moment où vous en avez le plus besoin.
Minifiez la CSS
Imaginez un sac plein à craquer. Vous ne pouvez plus ajouter un seul objet sans risquer de le faire exploser, pas même un petit trombone. C'est exactement ce qui arrive avec nos chers fichiers CSS. Ils gonflent tellement qu'ils atteignent le point de saturation. Ils engloutissent des cascades de retours à la ligne et des espaces, ajoutés pour faciliter la lecture à nous, simples mortels. Mais pour les géants électroniques que sont les ordinateurs, ces extras sont superflus. Eux, ils digèrent l'essentiel sans sourciller.
Mais que faire, me dites-vous, face à ce casse-tête ? La solution réside dans un mot aux allures de remède magique : la minification de votre CSS. Ce procédé révolutionnaire est comparable à une cure d'amaigrissement du fichier. Il consiste à chasser sans merci ces caractères dérangeants, à partager les espaces intempestifs et à dire adieu à ces doublons sans scrupules. Plus concis, votre fichier se sentira plus léger, plus agile. L’effet est presque palpable, comme si vous aviez dégonflé un ballon trop plein.
- La minification, c'est qui ? C'est un processus de condensation, pour rendre vos fichiers CSS plus digestes pour vos ordinateurs.- Pourquoi faire ? Car Google lui-même recommande cette opération. Elle allège la taille de vos fichiers CSS et accélérera d'une façon remarquable la vitesse de chargement de votre site.
Alors, ne tergiversez plus, entrez dans la danse de la minification. L'effet sera assurément spectaculaire et votre CSS vous dira merci!